Passons à l’action !
Alors que nous devons bientôt nous rendre aux urnes, nous lançons un appel à action à toute personne qui désire agir pour mettre les biens communs à l’agenda politique, et surtout entre les mains de tou·te·s.
Comment agir ?
Nous invitons syndicalistes, militant·e·s, collectifs, individus à perturber les rendez-vous politiques qui vont avoir lieu pendant la campagne électorale : meetings de campagnes, débats publics, conférences impliquant des politicien·ne·s, et évènements politiques en tout genre.
Suivez-nous sur les réseaux pour connaitre les événements auxquels on vous propose d’aller ensemble – Pour les autres dates, n’hésitez pas à prendre l’initiative d’y aller, même à quelques personnes !
« Perturber » peut vouloir dire :
- Distribuer des flyers devant le lieu de meeting
- Lire à voix haute le manifeste et interpeller les participant·e·s
- Faire une action symbolique ou artistique devant la conférence
- Participer aux débats et poser des questions concernant la socialisation des biens communs et le partage de la richesse
- Perturber l’évènement avec des slogans, chants, banderoles, alarmes,…
À votre imagination !
Boite à outils
- Tract à imprimer en A5 (deux par page, recto verso)
- Manifeste à lire oralement
- Dates des rendez-vous politiques (liste en cours de remplissage, n’hésitez pas à nous contacter si vous en connaissez une qui ne s’y trouve pas ! Voir aussi nos posts hebdomadaires sur facebook et instagram)
Partagez votre action sur les réseaux sociaux
- Soit sur vos propres réseaux en taggant « Commune Colère » (@communecolere sur Facebook/Instagram)
- Soit en nous partageant vos photos et quelques infos par e-mail à info@commune-colere.be, nous nous chargerons alors de la diffuser.
Lignes directrices pour les actions
Le but de nos actions est de contribuer à une réelle démocratie, celle où la population participe aux choix sociétaux. Nous venons faire état d’une situation inacceptable, révoltante. Nous ne venons pas débattre d’un programme quelconque qui ne sera de toute façon pas respecté. Nous venons exprimer un ras-le-bol, une rage de changement.
Si une personne politique essaie de nous embarquer dans un débat :
– Nous travaillons avec nos tripes, avec notre colère de citoyen·ne·s. Nous n’avons pas de cabinet politique derrière nous qui nous dit quels sont les arguments qui vont marcher. Nous ne sommes pas des marionnettes entrainées à débattre en public.
– Renvoyer vers des sources externes : le constat est partagé et connu et les solutions sont aussi connues, elles existent.